Les Procédés Littéraires

 

XV

L’image de la planète du géographe et lui-même nous fait imaginer ses traits par comaparaison avec les autres personnages aux autres planètes. Il est décrit que sa planète est dix fois plus vaste que la précédente, et donc, tu penserais qu’il y a plus de temps et la personne sur cette planète est calme et patient, et peut-être sage. La personne est décrit comme «vieux» Monsieur qui écrivait d’énormes «livres». Ici, tu penserais encore que losqu’un est vieux et relie aux livres, il est sage. Mais comme il relie au thème, l’apparence est juste une illusion et l’auteur voulait le faire clair par décrivant précisement. Puis, il y a le suspense à révéler le défaut du géographe, quand le petit prince lui demande les questions et il ne peut pas repondre. Les termes «éphémères» et «éternelles» sont comparé à l’objet physique et la valeur ou le lien avec l’objet, comme le petit prince s’inquiétait pour disparition de sa fleur, physiquement, mais le fait qu’il regrettait signifie que sa relation avec sa fleur est éternelle. Enfin, le premier mouvement de regret annonce qu’il pourra retourner à sa planète.

XVI

La comparaison de la mouvement de l’armée des allumeurs de réverbères à un ballet d’opéra indique que l’acte analogue et original(puisque c’est quand il n’y avait pas de l’électricité) des humaines est élégant et beau.

XVII

L’image d’humanité sur l’îlot était pour donner la vraie, réelle idée de la Terre à ceux qui ne la connaissent pas et croyaient la description d’auteur. La comparaison des grandes personnes aux baobabs fait plus facile pour comprendre qu’elles se voient importantes, puisque les baobabs se pensent les plus importants qu’ils même détraient la planète sur laquelle ils ont poussé. Les mots du petit prince que peut-être «les étoiles sont éclairées afin que chacun puisse un jour retrouver la sienne» signifie qu’il va trouer son étoile un jour et y retourner, pour la deuxiéme fois. Le paradoxe ce qui suit, «Elle est juste au-dessus de nous... Mais comme elle est loin!» indique que le corps et les matétiaux physiques sont limités mais pour l’âme et les qualités abstraites, tous sont possible. La comparaison du serpent que bien qu’il est mince comme un doigt, il est plus puissant que le doigt d’un roi signifie le pouvoir de son venin. Le pouvoir d’un doigt d’un roi est figuré ici, il relie au pouvoir qu’un roi a contre ses sujets. La métaphore de la Terre au granit insinue que les gens sur cette planète sont durs, selon le serpent. Finalement, la suggestion du serpent qu’il pourra aider le petit prince s’il regrette trop sa planète annonce que le serpent va revenir pour l’aider avec quelque chose même si n’est pas pour ceci.

XIX

L’image d’une haute montagne où il y a seulement des aiguilles de roc bien aiguisées, insistent le fait que le petit prince est seul.